JE CROYAIS QUE

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" Je croyais qu'en l'an 2000 les voitures voleraient. " " Je croyais qu'on disait les dessins allumés. " " Je crois que la méchanceté conserve. " " Je crois que lire, c'est une façon intellectuelle de déprimer. " " Je croyais que j'avais besoin d'un homme pour être heureuse. " " Je crois qu'il y a ceux qui réussissent et il y a les autres. " " J'ai cru que je devais décrocher la lune pour te plaire. " Confidences, convictions, superstitions... Des phrases tantôt drôles, intimes, émouvantes, récoltées d'une oreille attentive par Mélanie Richoz et illustrées par Yasmine Vanderauwera, avec justesse et une pointe de dérision. Deux univers qui se rencontrent dans un petit livre empreint de poésie, de souvenirs et d'humanité. Une lecture à la fois personnelle et universelle. L'auteure Mélanie Richoz, chroniqueuse, est amoureuse des mots, son quotidien foisonne de croyances. Fondées ou absurdes, peu lui importe ! Ce qui la fascine, c'est l'inavouable. Le démesuré. La vulnérabilité. La confidence. Sa croyance fétiche, celle des jours où rien n'est impossible : " Je ne fais pas de vœux, la vie nous réserve mieux que ce qu'on attend d'elle. ". La plus menaçante : " Ce qu'on dit, ce qu'on raconte, ce qu'on écrit, peut arriver." L'illustratrice Yasmine Vanderauwera, styliste et illustratrice de mode, prête ses crayons et son univers à cette aventure. Les phrases qui commencent par " croire " prennent ainsi vie sous les traits de Mine Vander, dans des situations tour à tour graves, touchantes ou cocasses qui résonnent dans le cœur et la tête.

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